La Cour des comptes épingle la présidence française de l’Union européenne en 2008 pour ses dépenses somptuaires, dont une coûteuse douche pour le Président qui n’aurait jamais servi. Par contre, de simples sanitaires pour les réfugiés autour de Calais ont été détruits, leur ôtant tout accès à l’hygiène la plus élémentaire.
Et certains fonctionnaires commencent à renacler.