Après le lapin

Suite de l’émission « A vous de juger », où Peillon n’est pas venu.
Promis, je n’ai pas changé une virgule.

Appel à l’ordre

Partie civile, le Président ne peut faire appel.
Mais il lui reste le bras (armé ?) de la Justice.
Le Parquet fait appel du jugement dans le procès Clearstream.

Mauvais à loi

Après la relaxe de Dominique de Villepin dans l’affaire Clearstream, Nicolas Sarkozy a fait savoir qu’il ne ferait pas appel.
Mais… en tant que partie civile, il ne le peut pas!
Connaît-il la loi? Non??
C’est que déjà, comme avocat, il était de très mauvais à loi!

Jugement du procès Clearstream et anniversaire du Président

Débuté à 10h30, le jugement (dont la lecture prendra environ 1h30) est largement suivi sur Twitter, premier média immédiat.
Nicolas Sarkozy en sera-t-il satisfait? Le jour de son anniversaire…
Dessin mis en ligne à 11h.

Nouveaux usages (1)

Les années ’10 seront celles du « tout sur mon iPhone »… enfin, au moins pour un ou deux ans encore.

Plus de gauche/droite?

J’avoue; j’avais beaucoup mieux à faire: je n’ai pas regardé l’évènement sarkozique d’hier (ah bon? il s’est passé quelque chose en Sarkozie hier?).
Alors, voilà, on va plutôt parler de politique autrement, et du fait que les notions de gauche et de droite, n’ayant plus le sens qu’elles pouvaient avoir en 1792, voire encore en 1995 ou même en 2007, doivent être repensées.

Nicolas Sarkozy craint la concurrence

Quelques jours avant la soirée qui lui est consacrée sur TF1, Nicolas Sarkozy s’est inquiété des programmes diffusés sur les autres chaînes, qui lui semblent pouvoir faire de l’ombre à son discours. Au mépris des règles en vigueur, il aurait aimé faire changer les films et séries diffusés ailleurs. Il ne manquera pas aussi de regarder du côté de ses grands modèles, du général de Gaulle à Giscard sans oublier Pompidou, lorsqu’il s’exprimera à travers l’écran.
En réalité, ne rêve-t-il pas du bon vieux temps des années soixante, lorsqu’il n’y avait qu’une seule chaîne, la Une?

Cumul des rémunérations, double langage

Ce qui est le plus choquant, ce n’est finalement pas la rémunération elle-même, aussi élevée fût-elle. D’autres patrons touchent beaucoup plus sans que personne n’y trouve rien à redire.
Ce qui m’interpelle, c’est plutôt le mélange des genres permettant à un patron du privé toujours en poste (quoiqu’on en dise, on ne peut imaginer que son « influence » à Veolia cesse du jour au jour alors qu’il en reste membre du conseil d’administration) de devenir président de d’une entreprise publique ayant des intérêts communs, croisés, et incompatibles.
Un nouveau service public fortement menacé? A y regarder de près, ça y ressemble.