Tant que les Bleus n’avaient pas joué, le Prez semblait s’intéresser assez peu à la chose footballistique.
Il faut le comprendre: l’intérêt en terme de com pouvait être à double tranchant.
Maintenant que notre équipe de choc nos bras cassés se sont fait éliminer non seulement sans gloire, mais sous la risée, cela devient une affaire d’Etat, au point de passer au premier plan et en toute urgence, devant des choses aussi insignifiantes que nos relations avec la Suisse et une réunion préparatoire au G20.
C’est qu’il y a le feu à la maison France.
Merci à Danièle, Fabien et Tefy pour l’idée.