La perspective d’un remaniement rapide du gouvernement s’éloigne. On l’annonce désormais pour novembre, et encore.
Quelles qu’en soient les causes en France, la (dramatique, disons-le) situation belge permet de se rendre compte qu’on peut tout-à-fait se passer de premier ministre, de conseil des ministres, et que l’Etat n’en est pas moins tenu (ce qui prouve tout de même la solidité des institutions belges).
Inutile donc de se presser pour remplacer Eric Woerth (au hasard) et les autres, l’Elysée gouverne très bien sans eux.