La météo hivernale et les quantités de neige tombées n’expliquent pas tout: la pagaille des transports du mois de décembre (et qui se prolonge en ce début janvier, avec ici un train qui accumule 14 heures de retard, et ailleurs d’invraisemblables inversions de rames de TGV doubles) est avant tout due à une gestion calamiteuse des problèmes, à un management catastrophique des personnels, à l’abandon de l’entretien des équipements, et à l’absence totale d’anticipation de la part de l’entreprise. Rien que ça.
Entreprise qui fait ce jour un mea culpa attendu sur l’affaire du Strasbourg-Port Bou (26 heures de trajet au lieu de 12).
Si la SNCF gérait le calendrier, imaginez la pagaille… Qui sait si le premier janvier serait arrivé à point nommé?