On a beau avoir préparé son heure, le meilleur plan de com possible, choisi ses mots, sa cible et son public, et même en rajouter dans le nombre, il est parfois des grains de sable qui viennent gâcher le plaisir. Là, c’est tout de même plus qu’un grain de sable, c’est carrément le plus gros tremblement de terre possible, et le tsunami qui va avec.
Cela valait bien un with Sarkozy day pour la peine.
Merci à Pierre-Laurent Constant d’avoir suscité l’idée.