Peut-être parce que cela se passe un peu plus loin que les rivages de la Méditerranée, mais Nicolas Sarkozy semble peu inquiet de voir les côtes françaises envahies de réfugiés climatiques japonais après les tremblements de terre (les, car de très fortes répliques continuent de se produire) et surtout le tsunami qui ont frappé l’archipel nippon.
Pendant qu’Henri Guaino peut sans honte affirmer que c’est bon pour Areva (ou presque), peut-être est-ce pour empêcher un afflux de demandes que notre ambassade à Tokyo est fermée pour 48 heures au moins.