Et si la volonté de silence de Nicolas Sarkozy à propos de Dominique Strauss-Kahn n’était pas motivé par le fait de ménager un ancien adversaire déchu, mais par le souci de préserver la possibilité pour Christine Lagarde, devenue encombrante à Paris en raison de l’affaire Tapie, de lui succéder à la tête du FMI?