Le BEA est formel: certes, les sondes Pitot ont donné des indications erronées aux pilotes, mais ces pilotes ont mal interprété les données et réagi de manière inappropriée.
Ah, le BEA parle du vol AF-447 Rio-Paris qui s’est crashé en 2009, et pas de la situation de la France? Au temps pour moi…
Merci à Gérard Feldzer et Fanny Stenneler pour l’idée de départ.