S’adapter aux nouveaux modes de communication, pour le monde politique, c’est notamment faire passer les idées sur Internet, organiser rassemblements et débats plus rapidement, intéresser de nouveaux publics, parfois même accélérer le débat.
Parfois, la vitesse d’action et de réaction cache le fond de l’info, et plus ça va vite moins on a le temps d’approfondir.
Pour autant, il ne faudrait pas transformer par le truchement du micro-blogging nos institutions en micro-République.