Comme le relève le Figaro, c’est une première en République (et ailleurs) que de voir nommé un colonel des pompiers comme préfet en charge de la sécurité. En Moselle. Sans préjuger aucunement de ses capacités, je me permets simplement de faire remarquer qu’après la norme, qui était le préfet préfet, on a testé le préfet policier, sans doute sans beaucoup d’effet, et que l’on en est maintenant à chercher des spécialistes pour éteindre l’incendie social. C’est aussi implicitement un aveu d’état d’urgence. En Sarkozie, la valse des préfets devient tango esitacion.