C’est beau, hein, le Sénat. Maintenant je sais ce que sont « les ors de la République ».
Petit jeu: identifier les journalistes sur cette image.
« Tu me fais ça, ça, ça et ça » pour TF1.
« Je ne peux pas te parler, il y a un peu de monde ici… »
Un petit plateau tout simple pour Public Sénat.
Doublures lumière. En fait, ça doit être flippant de se faire interviewer sous un mec à poil.
Nos hôtes de senat.fr sont bien affairés pour donner les résultats quasiment en temps réel sur le site.
17h50 (et non 18h30), on attend des personnalités socialistes.
Au pas de course vers les bureaux socialistes.
Et dire qu’en haut le bureau de Jean-Pierre Bel s’est déjà refermé…
Un jour historique, on peut souvent photographier ceci.
Ah, c’est encore lui! Serge Dassault, qui n’aura même pas réussi à être le doyen, puisque Paul Vergès, que l’on donnait démissionnaire le 25 septembre, ne l’était plus le 1e octobre au moment de prononcer le discours d’ouverture de session.
On équipe Martine Aubry pour les interviews.
Début de soirée, la conférence de presse de Jean-Pierre Bel.
Passant des carafes par la fenêtre du bar des journalistes, on a même éteint « à la suisse » l’incendie d’un cendrier.
Fabien échange quelques mots avec Georges Sarre.
Plateau de nuit pour Pierre Moscovici.
A cet instant, je n’aimerais pas être à la place de Chantal Jouanno, élue mais déçue pour sa liste et son parti, et bien seule pour répondre aux médias.
Plus à l’aise, Jean-Vincent Placé, heureux de sa victoire.
Pas encore 21 heures, Roger Karoutchi part (avec sans doute en poche les clefs du bureau UMP).