En primeur à l’UMP (à défaut de primaires), on essaie de dissuader les concurrents du chef de l’Etat à droite de participer à la présidentielle.
Ca vient de marcher avec Jean-Louis Borloo (j’entends « Delors en bar »… c’est très méchant!), qui se retire parce que « les conditions ne sont pas réunies » pour maintenir sa candidature, au grand dam de ses partisans, y compris ses proches, qui ont appris son retrait de la course en écoutant le journal télévisé où il l’annonçait.
C’est au tour d’Hervé Morin d’être tancé par Nadine Morano (assez vertement comme à son habitude) qui l’accuse en se présentant face à Nicolas Sarkozy de faire le jeu de l’extrême-droite.
Aurait-on peur au Château? La modestie de la réaction du tenancier, assez inhabituelle, peut le laisser penser.