En une semaine, Georges Papandreou et Silvio Berlusconi sont tombés prématurément sous la pression des marchés et des autres pays de la zone euro, victimes de la situation catastrophique des économies de leurs pays, remplacés pour le premier par un économiste, comme le sera sans doute le second.
Cela dit, ils avaient également un rôle à jouer comme mauvais élève, celui de bouc émissaire de temps de crise. Quel sera le prochain à remplir ce rôle?
En période de présidentielle, on pourrait être tenté de chercher dans le camp adverse quelqu’un qui, à défaut, servira de coupable idéal.
Merci à Daori et Christophe pour l’idée de départ.