Il ne faut pas attendre de miracles du sommet social du 18 janvier. Il va sans doute esquisser pour les ministres du Gouvernement un aperçu de ce qui les attend en mai si Nicolas Sarkozy (qui n’est toujours pas candidat) est battu à la présidentielle. Ils pourront ce jour-là tester les mesures mises en place depuis cinq ans et sans doute peu améliorées demain en faveur des demandeurs d’emploi. A moins que, et il n’en faut pas douter ils ne se (re)mettent à exercer en libéral, ou qu’ils trouvent dans les grandes entreprises qui ont su si bien user du système Sarkozy, en guise de remerciement, un travail emploi à la mesure de leur capacité.
Merci à Jean-Jacques Seymour pour l’idée de départ.