Pour la première fois, Nicolas Sarkozy évoque l’hypothèse de sa propre défaite. Et dit qu’il préférerait le Carmel à la reprise de l’UMP.
C’est humain.
J’imagine assez bien alors le dialogue des Carmélites, désormais dirigées (car il n’en saurait être que le patron) par celui qui y édicterait de nouvelles règles (il ne peut pas s’en empêcher) comme dans un nouveau parti politique, et y imposerait ses réformes.
Mazette!
Merci à Bruno pour l’idée de départ.
MàJ 14h15: il en parlait déjà avant.