Il l’a dit lui-même, il a dû en ce jour d’investiture vaincre les éléments. François Hollande pensait alors à la pluie qui accompagnait la cérémonie. Il ne pensait pas que cela s’appliquerait également au vol qui devait le mener à Berlin, déjà en retard, frappé par la foudre et forcé de rebrousser chemin.
L’idée de départ est à mettre au crédit d’Antoine Busnel, que je remercie tout particulièrement pour m’aider à brosser les contours du nouveau Premier personnage de ce blog.
PS 19h15: pardon pour la grooosse faute de grammaire…