La non-rencontre à l’ONU entre Ségolène Royal et François Hollande trouve sans doute sa source dans la jalousie extrême de notre first girlfriend. Il faut avouer que le surnom va comme un gant de crispin à Valérie Trierweiler.
Plus sérieusement, l’incident s’est produit dans un lieu particulièrement visible, au vu d’un grand nombre de journalistes et de diplomates qui en tirent déjà toutes les conclusions. Cela doit interroger sur l’influençabilité du Président, sur sa capacité à résister à la pression, et donc à décider, gouverner et négocier en toute indépendance.