Match perdant-perdant pour la tête de l’UMP, car pendant que les deux candidats toujours en lice se font face en montrant les crocs pour exister, la réalité est que c’est bel et bien sur l’ancien président —du parti et de la République— que parierait plutôt la grande majorité du parti.
Et qui dit que les proches de François Fillon et de Jean-François Copé ne sont pas en train de truquer le match de leurs poulains respectifs, histoire ensuite de pouvoir rappeler Nicolas Sarkozy aux affaires?