La chute dans les sondages du Président et du Premier ministre est vertigineuse, mais comme ils ont moins le nez collé dans ces chiffres-là que l’ancien président (quoique), ils n’en font pas de réactions épidermiques.
Ce sont d’autres chiffres, encore moins bons, qui, on l’espère, les préoccupent davantage.
Enfin, la trêve des confiseurs approche. Encore faut-il avoir les moyens d’acheter du chocolat.