Le Pape Benoît XVI n’est pas mort, et donc c’est dans une ambiance sans affliction, très différente de celle de tous les précédents conclaves, que devrait se passer l’élection de son successeur, dont le résultat est attendu avant Pâques.
La campagne, si l’on peut dire ainsi, bat son plein.
L’Eglise en profitera-t-elle pour se moderniser et sortir de son pré carré européen?
On ponte déjà chez les bookmakers pour un Pape asiatique, noir ou amérindien.
Rien n’est moins sûr.
PS: un très fidèle lecteur me souffle que le prochain Pape pourrait aussi venir d’Abitibi-Témiscamingue. J’en prends bien note.