Silvio Berlusconi, en passe de perdre son immunité de sénateur (ce sera discuté le 4 octobre) et de passer la main en politique comme en affaires (à au moins deux sens du terme), provoque une crise politique en Italie, puis finit, au bout de quelques jours, par voter la confiance au gouvernement.
A l’heure où son aura politique diminue, il est peut-être temps pour lui de revenir en bourse.