Le magazine Le Point affirme que Jean-François Copé, comme chef du parti, pendant la campagne de la présidentielle et même avant, a passé commande sur commande à une filiale de la société de communication Bygmalion, dirigée par des proches, pour organiser des événements de la dite campagne pour Nicolas Sarkozy. Evénements qui semblent de plus avoir été surfacturés en moyenne d’environ 20%.
Copé s’en défend avec sa délicatesse et son sens de la mesure habituels, aidé en cela par les dirigeants de l’entreprise; il n’empêche que cela fait mauvais genre.
Et, au fait, d’où vient ce nom étrange?