Dessins de la soirée électorale du 23 mars de France 3 LorraineForbach, point chaud en Lorraine, a vu ce dimanche une affluence de journalistes.
A Isches, dans les Vosges, on n’a pas voté: il n’y avait aucun candidat.
A Nancy, le maire sortant André Rossinot pense à son avenir sans s’éloigner de la mairie.
Les listes ayant recueilli plus de 10% des voix peuvent se maintenir au second tour. Encore faut-il savoir compter.
Les jeunes votent très peu aux élections politiques, mais massivement aux jeux télévisés.
Comme en 2008, Michel Heinrich est réélu à Epinal dès le premier tour.
A Forbach, le maire sortant Laurent Kalinowski est devancé par le FN Florian Philippot.
En cas de quadrangulaire, peut-on faire une belote à la place du second tour?
Philippe Tarillon, maire de Florange, très actif aux côtés des sidérurgistes, est battu dès le premier tour. C’est l’un des rares politiques à très bien se servir des réseaux sociaux -et à y montrer de l’esprit.
La participation est forte en Meuse, y compris là où des listes seules en lice sont assurées de scores à 100%.
Que dirait au micro un maire battu, s’il n’y avait la langue de bois?
La défaite du PS s’explique aussi par le fait que les socialistes se rendent traditionnellement peu aux urnes.
Les listes affiliées à la Manif pour Tous ne s’en revendiquent généralement pas publiquement.
A Hayange, Fabien Engelmann (pardon pour l’erreur sur le prénom) est passé il y a trois ans de la CGT au Front National.
A Verdun, Arsène Lux, même devancé, ne se démonte jamais et reste persuadé de sa victoire finale.