Croissance nulle au premier trimestre, dit l’INSEE, mais Michel Sapin dit qu’il ne faut pas s’inquiéter: après tout, c’est toujours mieux que par le passé, sous Nicolas Sarkozy en 2008 par exemple. Mais c’est peut-être ce mot nul, qu’on entend beaucoup en ce moment, qui dérange: il a une connotation encore plus péjorative que négatif.