Nicolas Sarkozy, s’il veut mener à bien ses projets futurs en politique, devra faire oublier certains pans de sa vie, notamment quelques volets judiciaires, tout en faisant parler de lui le plus possible pendant deux ans et demi, sur Facebook et surtout ailleurs. Dans son cas, c’est assez contradictoire, il faut bien le dire.
Alors, que se passerait-il s’il demandait l’exercice du droit à l’oubli à Google concernant précisément les dites affaires?
MàJ 16h: j’ajoute ce lien sur l’une des affaires. On croit rêver.