Après leur tutelle, c’est maintenant au tour de l’agence anti-corruption Anticor de s’intéresser aux cas de Mathieu Gallet et Agnès Saal, tous deux pour les périodes où ils officiaient à la tête de l’INA. Agnès Saal avait d’ailleurs été la preuve qu’un PDG vénal à la tête d’une entreprise publique n’était pas INAmovible.
Promis, j’arrête là les jeux de mots pourris avec INA.