La grosse claque annoncée par les sondages est bien là: le parti de Marine Le Pen est en tête à l’issue du premier tour dans six régions (!!), avec une campagne de dédiabolisation qui a bien fonctionné, et pas plus de programme que ses adversaires (et moins de voix qu’en 2012).
Quelles qu’en soient les suites, les lendemains ne chanteront pas.