Un promeneur

Lui, je l’ai croisé ce soir en ville.

A la porte, le guignol

C’est fait, Vincent Bolloré s’est enfin débarrassé d’Yves Roland, patron des Guignols, ce qui doit bien plaire à son ami Nicolas Sarkozy (l’ami de Bolloré, beaucoup moins, on s’en doutera, d’Yves Roland).
On a eu peur, il y aurait pu y avoir de l’humour et des grincements de dents pendant la future campagne des présidentielles.

Et un, et deux-zéro

Hier soir, c’était soirée foot, la demi-finale de l’Euro France-Allemagne, aux Trois Cageots.
L’ambiance commence à monter; mais l’inquiétude est là: jamais l’équipe de France, depuis 1958, n’avait battu les Allemands en phase finale de championnat.
Romain, au travail, n’oublie pas qu’il est supporter.
Une petite moue, car en cette première mi-temps les Allemands contrôlent le jeu.


Bières (et planches de charcuterie-fromage) pour se mettre du coeur au ventre.
Les Allemands jouent en force, et vont à la faute. Pénalty, premier but de Griezmann.
A la deuxième mi-temps, après les hot dogs (pour les spectateurs, bien sûr), il s’agit de tenir l’avantage.
Une belle action… et deuxième but de Griezmann.
L’ambiance est à la joie…
Ça y est, le match est fini, les Français ont vaincu la malédiction et vont en finale.
Et voici le tout premier dessin que j’ai fait de la soirée: la mine déconfite, dès les premières minutes, de Joachim Löw, l’entraîneur allemand. Ce n’était pas le jour des hommes de la Mannshaft.
Dessins réalisés sur le vif, pendant la durée du match.