La Grèce file dans le mur, mais la panique bancaire n’y est pas si forte qu’on pouvait le craindre. Est-ce à relier avec la précipitation (relative) avec laquelle Syriza a réouvert la télévision publique début juin?
La Grèce file dans le mur, mais la panique bancaire n’y est pas si forte qu’on pouvait le craindre. Est-ce à relier avec la précipitation (relative) avec laquelle Syriza a réouvert la télévision publique début juin?