Confinement + couvre-feu

Gabriel Attal annonce un couvre-feu à Paris en plus du confinement, aussitôt démenti par Jean Castex. Ça barde à Matignon!

Riester à la Culture

C’est finalement un homme, politique, connaisseur de l’aspect technique des dossiers, spécialiste de l’audiovisuel et des médias numériques, qui remplace à la Culture une femme, issue de la société civile et de la culture classique. On voit tout à fait où Emmanuel Macron veut se diriger avec cette nomination.

Débarquement de Cythère

Claire Chazal débarquée du journal du week-end pour cause de mauvaise audience, qui d’aussi enamouré pour interviewer Nicolas Sarkozy le jour où, comme il l’espère…?
Ah, on me dit qu’il ne risque pas d’appeler son ami Vincent pour la faire recaser dans un média plus acquis.
Au temps pour moi…

En bon pépère de famille

Après l’ère des artistes et des visionnaires, celle des journalistes, puis celle des ressources humaines, voici venir à France Télévisions et à l’INA l’ère des gestionnaires. On leur souhaite bien du courage.

Rémy Pflimlin veut se succéder à lui-même

Rémy Pflimlin se succédera-t-il à lui-même en juillet prochain?
Il aimerait bien!

Ecran noir pour nuits blanches

L’Etat grec ferme brutalement l’intégralité de son audiovisuel public.

MàJ mercredi 11h: un audiovisuel public grec « réformé », à budget et effectifs très réduits, « devrait » renaître à l’automne. En attendant, elle continue et la résistance s’organise sur le net.

De notre volonté, mais indépendant

Olivier Schrameck, ancien chef de cabinet de Lionel Jospin, a été nommé à la tête du CSA, malgré les promesses de François Hollande en cours de campagne de veiller à plus d’indépendance de l’instance.
Sont également nommées au CSA les journalistes Mémona Hintermann-Affejee et Sylvie Pierre-Brossolette, avec une polémique à la clef sur les raisons de l’écartement de la candidature de Florence Schaal.

Silence dans les rangs!

Le temps est loin le temps où un Jean-Pierre Chevènement pouvait dire sans ambiguïté « un ministre, ça démissionne ou ça ferme sa gueule » (il y a presque trente ans tout de même). Les médias audiovisuels sont passés par là, et les moeurs politiques s’en sont trouvées bien changées.
Mais, après cinq ans, sous l’ère Fillon, où les ministres se sont exprimés sans retenue sur tout et sur n’importe quoi, et surtout pas souvent dans leur domaine de (théorique) compétence, histoire d’occuper l’espace médiatique, il est temps pour Jean-Marc Ayraud de mettre le holà pour éviter une nouvelle cacophonie.

Merci à Cédric Cousseau pour la participation aux dialogues.