C’est plus fort que lui, Sarkozy, qui n’est toujours pas candidat (mais c’est une habitude chez lui), se répand en petites phrases assassines sur ses adversaires du jour… qui devront être ses alliés de demain s’il l’emporte à la primaire pour redevenir calife à la place du calife. On ne le refera pas. Ni comme homme, ni comme candidat, ni, le cas échéant, comme président.