Pendant qu’on parle du dérapage (très contrôlé) du Président à Lisbonne à propos de journaliste(s) pédophile(s), on ne parle plus ni de l’affaire Woerth-Bettencourt (exit Banier) ni du Karachigate*, ni de quoi que ce soit d’autre qui fâche.
La communication présidentielle primant sur tout, un mot chassant l’autre à la vitesse d’un cheval au galop (j’aime bien l’expression, n’y voyez rien de plus), le raisonnement par l’absurde tenant lieu de maître-étalon, pas étonnant qu’on en arrive à de telles billevesées.
Merci à Christophe Colinet pour l’idée.
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* Karachigate où l’on ne semble plus se souvenir que de Sarko porte-parole de Balladur, et plus de Sarko ministre du Budget, pourtant concerné au premier chef pour un contrat de cette importance concernant un organisme d’Etat.