Habitué à se montrer partout et en toutes circonstances, le Président n’a pas sorti le bout de son nez pour apparaître aux côtés de Clotilde Reiss, rentrée d’Iran après dix mois de privation de liberté.
Questions en vrac:
Avait-il peur des interrogations sur les circonstances de cette libération et sur ses à-côtés?
Voulait-il cacher ses contradictions sur le sujet?
Boudait-il la presse, pour une fois?
Voulait-il prendre à revers une fois de plus en terme de méthode de communication?
Ou jouait-il au no Sarkozy day, histoire de récupérer une fois de plus une idée de ses opposants?
Va savoir…