Le vote n’est pas encore plié pour Joe Biden, mais son avance et la dynamique peuvent lui permettre d’espérer la victoire avant le 14 décembre, date fatidique du rassemblement des grands électeurs. En attendant, Donald Trump continue de s’auto-proclamer vainqueur, mais désormais il est contredit par les médias qui le coupent lorsqu’il ment sans vergogne et jusqu’à certaines pointures de son propre parti.
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Apprenti vaincu
In dessin on 6 novembre 2020 at 08:37Bernal et la Loze
In dessin on 16 septembre 2020 at 10:12Complètement à l’ouest
In dessin on 4 septembre 2019 at 08:08Sending out an S.O.S.
In dessin on 10 juin 2017 at 13:37Il n’est pas dans les habitudes de Theresa May, le Premier ministre britannique, de ne pas garder la lèvre supérieure rigide en cas de malheur, mais la déconvenue électorale de ce jeudi la laisse dans une situation difficile pour négocier prochainement le Brexit, et c’est un véritable S.O.S. (MAYDAY en anglais) qu’elle laisse entrevoir en s’alliant aux réacs nationalistes d’Irlande du Nord. Au secours…
Encornade
In dessin on 31 mars 2015 at 12:56S’il reconnaît la défaite incontestable de la gauche, Manuel Valls n’en reste pas moins persuadé qu’il peut remettre les socialistes sur le chemin de la victoire, un an après sa nomination.
Bernanos à ronger
In dessin on 24 janvier 2012 at 11:04
Pour la première fois, Nicolas Sarkozy évoque l’hypothèse de sa propre défaite. Et dit qu’il préférerait le Carmel à la reprise de l’UMP.
C’est humain.
J’imagine assez bien alors le dialogue des Carmélites, désormais dirigées (car il n’en saurait être que le patron) par celui qui y édicterait de nouvelles règles (il ne peut pas s’en empêcher) comme dans un nouveau parti politique, et y imposerait ses réformes.
Mazette!
Merci à Bruno pour l’idée de départ.
MàJ 14h15: il en parlait déjà avant.
Des restrictions budgétaires et des footballeurs français
In dessin on 30 juin 2010 at 18:15
Elle était si proche de ses chouchous tant qu’ils étaient (piteusement) en lice en Afrique du Sud. Elle les aurait bordés à l’hôtel, se souciait de leur confort matériel, et même sans doute de ce qu’avaient mangé les sangliers qu’on leur servait à table (pardon, je dois confondre avec « Astérix aux Jeux Olympiques », qu’il faut relire absolument ces jours-ci).
Maintenant, elle les voue aux gémonies jusque dans l’arène publique.
Et les restrictions de budget sont aussi passées par là. Fini, les footballeurs gratuits pour Roselyne Bachelot.
Merci à Fabien pour la retouche.