Du sang sur les pierres

En Syrie, Palmyre est une prise stratégique pour Daech.
On s’en rend compte aussi avec le pillage de la ville antique.
Pillage réalisé, non seulement pour détruire les merveilles de l’idôlatrie, comme disent les imams, mais surtout pour faire de l’argent, beaucoup, beaucoup d’argent.
Car les objets issus de ce pillage, du plus petit au plus gros, se vendent très bien sur place, et sur les marchés pirates de l’archéologie. De plus, ils sont très prisés. On les voit désormais apparaître sur les ventes en Occident et en Asie.
Et qu’achète-t-on chez Daech avec cet argent, sinon des armes, pour faire encore des morts, beaucoup de morts?

On ne ferme plus… quoique

Par un subtil de tour de passe-passe, on ne ferme plus de classes, mais on continuera de ne pas remplacer la moitié des profs et des personnels partant en retraite. Luc Chatel persiste à dire que cela ne provoquera ni déserts pédagogiques ni augmentation du nombre d’élèves par classe. Passons sur le zéro pointé qu’on pourrait lui accorder en calcul. Ca ressemble de plus en plus à une annonce de début de campagne électorale histoire d’attirer le chaland l’électeur.
D’ailleurs, que pourrait-on faire dans une classe vide? Installer des réfugiés, par exemple, qui y trouveraient au moins un toit et quatre murs?