Au FMI, les tâches qui attendent Christine Lagarde, en poste depuis moins de quinze jours, sont titanesques.
Entre défaillances annoncées de pays d’Europe du sud, difficultés des Etats-Unis à propos de leur dette, redémarrage de la crise ou inflation galopante ailleurs, elle aura fort à faire. Et dans un style qui sera très différent du style Strauss-Kahn, une avocate d’affaires de droite n’ayant sans doute pas la même vision qu’un économiste de gauche.