Un mois après les mots très durs de Christine Lagarde envers les dirigeants grecs alors que se négociaient les conditions de l’aide internationale, le bras de fer contre la Grèce continue, l’Allemagne en tête, et on peut aisément imaginer comment le FMI se représente le gouvernement d’Alexis Tsipras au moment où Athènes doit demander un nouveau prêt.
Deux questions simples de démocratie: sous pression comme il l’est, le gouvernement grec a-t-il la moindre marge de manoeuvre? et le pays est-il toujours souverain?
MàJ midi 30: ce matin, la Bourse grecque rouvre après cinq semaines sur une chute de 23% attendue.