Sale quart d’heure

La grève contre la réforme des retraites se durcit, Premier ministre et gouvernement sont partout (et demain à Nancy) tandis que le Président semble se replier dans sa tour d’ivoire. Pendant ce temps, Donald Trump, jamais à court d’insultes, arrose à qui mieux mieux.

Diplo-quoi?

S’il restait des doutes sur la capacité de Donald Trump à embrasser et gérer les grands défis de politique étrangère, ceux-ci sont levés depuis l’affaire coréenne, et on en vient à se demander si pour lui, si prompt à l’insulte sur Twitter, le diplomate ne se réduit pas à un gâteau (inventé d’ailleurs par Antonin Carême pour Talleyrand pour amadouer et faire patienter ses interlocuteurs au congrès de Vienne).

Assises du journalisme #1.2

Mercredi 5, matin: TV sociale et connectée

Haters

Expérience ancienne

Ke 2e écran pratique

Anonymat

Au-delà du 2e degré

Le vocabulaire ad hoc

Pour revenir sur le G20, maintenant que Georges Papandreou a démissionné et a été remplacé par Lucas Papademos (« Habemus Papademos », peuvent dire les Grecs), on peut enfin révéler en exclusivité la teneur des mots doux proférés par Nicolas Sarkozy à Cannes à l’encontre du malheureux premier ministre grec, ainsi que leur provenance.

L’un entre, l’autre sort

La maison Dior profite d’injures racistes tenues par le couturier John Galliano, saoul (ce qui n’excuse rien), à l’encontre de clients d’un bar parisien pour se séparer d’un créateur très inventif certes, mais également très provocateur, y compris dans ses propos, et devenu au fil des années absolument ingérable par son employeur. Dans un registre plus sage, John Galliano a également créé pour Carla Bruni les tenues qu’elle portait lors d’un voyage au Royaume-Uni il y a trois ans.
Quant à Gérard Longuet, lui aussi connu pour des dérapages passés, il s’était vertement emporté contre Nicolas Sarkozy peu après un précédent remaniement, furieux de ne point en être. Combien de temps restera-t-il gérable au sein du gouvernement?