Placé au gouvernement

Jean-Vincent Placé, enfin au gouvernement, peut savourer. Mais, à la réforme de l’Etat (et à la simplification), ça peut surprendre.

Des surprises au remaniement

Le remaniement de ce jour, le dernier sans doute avant la présidentielle de 2017, réserve quelques surprises.

La grande lessive

Quatre ans près la fusion Europe Ecologie-les Verts pour former EELV, Jean-Vincent Placé et François de Rugy forment Les Ecologistes, structure dans le parti destinée à leur permettre le cas échéant un destin ministériel.
Merci à Yves pour l’idée de départ.

Et les abeilles?

Je ne suis pas la seule à avoir cherché de l’écologie dans le discours des écologistes.

Placé, pas gagnant

Il n’aura fallu que six mois au gouvernement pour que EELV reprenne ses petites habitudes, à savoir s’entre-déchirer entre copains à pleines dents au moindre désaccord. Question d’individualités fortes, peut-être, mais aussi de nature, de par la naissance même du parti, il y a deux ans presque jour pour jour.
Si on s’avance peut-être vers une séparation à l’amiable, les degrés de division ne sont probablement pas si énormes que ça.

PS: y a-t-il des partis où ce n’est pas vrai? Bonne question de Nina…

Au Sénat le 25 septembre

C’est beau, hein, le Sénat. Maintenant je sais ce que sont « les ors de la République ».

Petit jeu: identifier les journalistes sur cette image.

« Tu me fais ça, ça, ça et ça » pour TF1.

« Je ne peux pas te parler, il y a un peu de monde ici… »

Un petit plateau tout simple pour Public Sénat.

Doublures lumière. En fait, ça doit être flippant de se faire interviewer sous un mec à poil.

Nos hôtes de senat.fr sont bien affairés pour donner les résultats quasiment en temps réel sur le site.

17h50 (et non 18h30), on attend des personnalités socialistes.

Au pas de course vers les bureaux socialistes.

Et dire qu’en haut le bureau de Jean-Pierre Bel s’est déjà refermé…

Un jour historique, on peut souvent photographier ceci.

Un vainqueur! Qui est là?

Ah, c’est encore lui! Serge Dassault, qui n’aura même pas réussi à être le doyen, puisque Paul Vergès, que l’on donnait démissionnaire le 25 septembre, ne l’était plus le 1e octobre au moment de prononcer le discours d’ouverture de session.

On équipe Martine Aubry pour les interviews.

Début de soirée, la conférence de presse de Jean-Pierre Bel.

Passant des carafes par la fenêtre du bar des journalistes, on a même éteint « à la suisse » l’incendie d’un cendrier.

19h58 côté buffet socialiste.

Fabien échange quelques mots avec Georges Sarre.

20h15.

Plateau de nuit pour Pierre Moscovici.

A cet instant, je n’aimerais pas être à la place de Chantal Jouanno, élue mais déçue pour sa liste et son parti, et bien seule pour répondre aux médias.

Plus à l’aise, Jean-Vincent Placé, heureux de sa victoire.

Pas encore 21 heures, Roger Karoutchi part (avec sans doute en poche les clefs du bureau UMP).