Donald Trump a limogé d’un tweet (et d’un coup de fil) le faucon et neo con John Bolton. Bon débarras, à moins que…
PS pour ma mère: « I’m the walrus » est une chanson des Beatles.
Encore un départ à la Maison Blanche, celui du chef du Secret Service Randolph Alles.
Ces prochaines semaines, les dessins seront moins quotidiens, et parfois je n’aurai pas le temps de les mettre en couleurs.
En pleine crise mexicaine, Donald Trump limoge comme une apprentice de son ancien programme télévisé sa secrétaire à la sécurité intérieure, Kirstjen Nielsen, jugée trop « molle » en matière d’immigration. Le turnover de son gouvernement depuis son élection en 2016 est inédit dans un pays occidenta… non, rien.
Curieux Donald Trump, qui congédie en un tweet son ministre des Affaires Etrangères sans lui adresser la parole, bouge l’agressif Mike Pompeo de la CIA au Secrétariat d’Etat, nomme à sa place à la tête de la CIA une super espionne adepte de la torture et peu regardante avec la loi. Ah mais non, j’oubliais, ce n’est que la version « en vrai » de son ancienne émission de téléréalité The Apprentice. Décidément, il n’apprendra jamais.
On a beau avoir préparé son heure, le meilleur plan de com possible, choisi ses mots, sa cible et son public, et même en rajouter dans le nombre, il est parfois des grains de sable qui viennent gâcher le plaisir. Là, c’est tout de même plus qu’un grain de sable, c’est carrément le plus gros tremblement de terre possible, et le tsunami qui va avec.
Cela valait bien un with Sarkozy day pour la peine.
Merci à Pierre-Laurent Constant d’avoir suscité l’idée.