Le Bundestag qui vote sans barguigner pour les aides à la Grèce, et l’Allemagne qui souligne le rôle prépondérant de la France de François Hollande dans le règlement de la crise grecque, c’en est trop pour Nicolas Sarkozy, qui s’est auto-proclamé hier meilleur grimpeur, mais qui se spécialise en fait surtout dans l’escalade verbale, et dont le rôle putatif il y a quelques jours le couvre de ridicule aujourd’hui. L’axe franco-allemand est sauvé pour les uns; plus dure sera la chute pour les autres…
Allez, la saison a été longue; tout le monde a besoin de vacances.