Byg deal

On apprend aussi, autre branche de l’affaire Bygmalion, que l’entreprise a vendu du conseil à France Télévisions dès la présidence de Patrick de Carolis, et que cela s’est poursuivi sous Rémy Pflimlin.

Opération mani-pulite

Ambiance délétère à France Inter (pour ne pas dire plus), où les noms d’oiseaux et les scuds volent bas autour de la matinale et de certaines émissions phares. Entre les chroniques décriées, les émissions qui pourraient disparaître, les intentions que l’on donne (à tort ou à raison) aux uns et aux autres, ça chauffe avant l’été! Philippe Val en censeur: un comble quand on connaît (et qu’on a aimé) sa carrière de chansonnier. Mais à y regarder de plus près, le virage s’amorçait déjà à Charlie Hebdo. Et dans l’attente de la nomination d’un successeur à Patrick de Carolis à France Télévisions, doit-on s’attendre au même cirque dans un an sur les chaînes de la télévision publique?

Une rumeur chasse l’autre

Il n’y a pas qu’autour de l’Elysée que bruissent les rumeurs.
Celles autour de la succession de Patrick de Carolis à la tête de France Télévisions se multiplient depuis quelques mois.
Une quinzaine de noms au moins; des dates aussi. Des noms très sérieux, et d’autres moins.
Tout est prétexte: ce n’est rien de moins que le mode de communication le plus habituel du cénacle élyséen actuellement.
Comme un prestidigitateur: « tenez, dans ce paquet de 52 cartes, tirez-en 51; ce serait bien jouer de malchance que la bonne carte ne s’y trouvât pas. »
Tiens, et puis, tant qu’on y est, cela permet d’éloigner aussi les regards de l’autre rumeur de la semaine, celle concernant le couple impérial présidentiel.