Fin de pénurie programmée

François Braun annonce pour dans deux mois la fin de pénurie d’amoxicilline, pile poil quand on commencera à n’en plus avoir besoin.

He breaks it all

Alors que le Brexit s’il est sans accord avec l’Union Européenne s’annonce de plus en plus apocalyptique pour le Royaume-Uni et dans une moindre mesure pour les Européens, les aspirations du Premier ministre britannique Alexander Boris de Pfeffel Johnson, dit Boris Johnson, sont difficiles à cerner.

Yes, I jerry-can

Alain Vidalies, le secrétaire d’État chargé des Transports, se veut rassurant. Comme le Gouvernement, il continue à affirmer qu’il n’y a pas de pénurie d’essence (ce qui est vrai, sauf dans les stations-service de l’ouest) et que tout va mieux. Ouf, on a eu peur.

Paris veut des jeux

Paris veut les JO 2024.
Ce qui veut dire, si elle l’obtient, qu’on y construirait enfin des logements.
Pour les athlètes.

Il n’y a pas de pénurie d’essence

Adeptes comme toujours de la méthode Coué, nos ministres se persuadent eux-mêmes qu’il n’y a pas de pénurie d’essence (et aussi moins de chômeurs, pas de hausse des prix des produits de première nécessité, pas de diminution de l’accès aux soins pour les plus fragiles, moins d’impôts, etc.)
Ainsi, Christine Lagarde, de son quai de Seine, peut se rendre en quelques minutes et avec des chansons de Bercy au pont de la Concorde (ensuite, il faut un peu marcher jusqu’à l’Elysée, mais c’est bon pour le coeur).