Perché

Richard Ferrand s’accroche.

Mutuellement vôtre

Richard Ferrand, soutien de la première heure d’Emmanuel Macron, reçoit la récompense de son engagement, de sa proximité, et peut-être aussi celle d’un sentiment mutuel.

Son bâton de maréchal

Grand vainqueur dès le premier tour sur ses adversaires, dont la principale était Barbara Pompili, Richard Ferrand sera comme prévu par le Château le candidat de LReM au perchoir de l’Assemblée, et donc son prochain Président.

L’opportuniste

Et si l’élection de François de Rugy au perchoir de l’Assemblée nationale était un moyen de maintenir l’inconstant ex–EELV et écologiste, au moins pendant cinq ans deux ans et demi, dans le giron d’En Marche? Ou compensation pour n’avoir pas été nommé ministre?

MàJ 10h45 : je n’invente rien…

Imperdable, sans impair

Un petit dessin vite fait juste pour dire que Claude Bartolone va sans surprise et sans suspense être élu au perchoir de l’Assemblée nationale, une élection imperdable puisque son groupe a la majorité absolue, et que son prédécesseur avant même le vote salue un homme qu’il apprécie.

Candidats for ever

On n’en a pas tout à fait fini avec les scrutins, il reste à élire les présidents de groupes et le président tout court à l’Assemblée nationale.
Pour perpétrer une tradition bien de chez nous, ce sont les 577 députés, ou presque, qui sont candidats au perchoir.

Merci à Sandrine pour l’idée de départ.

Piou-piou

Après une dernière semaine de campagne à cran, le marathon électoral se termine enfin. Ne reste plus qu’à élire le président de l’Assemblée.
Et c’est là que la victoire (incontestable) du PS se corse un peu: ses deux pressentis au perchoir, Ségolène Royal et Jack Lang, sont battus tous les deux.
Il faut maintenant trouver la perle rare: apte au poste, à poigne, un peu diplomate, élu sans contestation, et surtout, qui ne gazouille pas!

Ici New-York

Nicolas Sarkozy va finir par nous faire croire qu’il aura (re)créé le monde en six jours. Après le G8 et le G20, la Libye, plus tous ceux que j’oublie ici, c’est maintenant au tour de la Palestine comme futur Etat de passer entre les mains de notre Président, à New-York et à l’ONU.
Ce qui rend soudain presque insignifiantes les élections sénatoriales de ce dimanche, encore qu’il y ait cette fois un peu de suspense dans la mesure où Gérard Larcher au perchoir est menacé par le socialiste Jean-Pierre Bel si le Sénat basculait à gauche. Une première.

Je vous raconterai de visu, car je serai au Sénat dimanche pour couvrir l’événement pour ce blog. Une première aussi pour moi!