Est-ce par peur que « l’uniforme ne se transforme en livrée » (pour reprendre un mot de Pierre Véron, bourgeois de Paris et journaliste au Charivari) que Nicolas Sarkozy et Claude Guéant se livrent depuis quatre ans à une véritable danse des préfets?
A chaque aléa, le Président pique une (grosse) colère et le Président-bis place un nouveau pion.
Cette semaine, cela se passe dans les Bouches du Rhône, et c’est Alain Gardère, un proche des deux, qui gagne le pompon.
Ou la casquette.