Tractage et tractations

En s’alliant dès le début de la campagne des régionales à la République En Marche pour contre le RN, l'(ex-?) Républicain Renaud Muselier rebat les cartes de l’équilibre politique en France.

Jamais plus jamais

Depuis ce dimanche, on en est sûrs, Donald Trump revient, ET IL N’EST PAS CONTENT (fantastique photo de Doug Mills, du New York Times).

PINO simple con

Après avoir fustigé les RINO, Républicans In Name Only, les membres de son parti qui ne lui étaient pas assez inféodés, et après le désastre de l’assaut du Capitole, Donald Trump pourrait bien, pour les dix jours qui lui restent en théorie à faire à la Maison Blanche, être contraint au renoncement et à la capitulation, et se trouver de fait être un PINO, President In Name Only, que fuient désormais ses anciens partisans, annonçant un futur crépusculaire.

Auto faction

On avait beau ne plus attendre d’être surpris de Donald Trump, cette attaque venant de ses supporters de l’un des piliers de la démocratie américaine est tout de même un choc. Que le Président encore en poste pour treize jours de la « plus grande démocratie du monde » puisse être accusé un jour de subversion et de sédition comme un vulgaire manifestant hong-kongais est inouï.

Haro sur le moineau

Donald Trump, comminatoire et fulminant, menace de couper les réseaux sociaux, accusés d’être trop hostiles aux conservateurs et Républicains, ou trop favorables aux Démocrates.

Début du procès de Donald Trump

C’est le début aujourd’hui du procès en empeachment de Donald Trump. Il risque de sortir la grosse artillerie contre ses adversaires les Démocrates.

L’Élu… et les autres

Au G7 de Biarritz, qui commence samedi, Donald Trump risque une fois de plus de se montrer comme l’éléphant dans un magasin de porcelaine, en oubliant comme d’habitude le multilatéralisme -et que tous les chefs d’Etat présents, de grandes démocraties, sont tous comme lui élus…

Du changement au renseignement

En campagne pour sa réélection, non content de s’en prendre aux vins français et de proférer une fois de plus des propos racistes, Donald Trump vire ce dimanche le chef des renseignements qu’il a lui-même nommé mais qui le critique sur son attitude vis à vis de la Russie, et en nomme un plus proche de ses propres analyses intérêts et qui s’intéressera sans doute un peu moins à ses affaires là-bas.