Vu ce que le mode de gouvernance sarkozyen fait de son gouvernement et de son parlement, on peut se demander à quoi servent l’un et l’autre, et, en corollaire, à quoi sert-il encore que l’un pose des questions à l’autre une fois par semaine, sachant que la marge de manœuvre de l’un et de l’autre est proche de zéro?