Venant à la suite de plusieurs dossiers chauds, la prise de bec invraisemblable entre Arnaud Montebourg et le PDG de Titan me donne à penser que, si le patron américain a enfilé ses gros sabots, le ministre du redressement productif n’a lui peut-être pas encore tout-à-fait franchi le fleuve qui sépare les bonnes intentions et les exercices de simulation de la réalisation concrète, surtout dans l’industrie.
Et ce d’autant que les chiffres de l’économie sont mauvais et qu’il serait de bon ton maintenant de donner dans le pragmatique.