Retour sous la tente, ce deuxième jour, où « ils » essaient de se rendre invisibles.
C’est qu’il y a du beau monde, et là, le ministre britannique des réformes, le libéral Matthew Hancock.
Et hop, une petite pique à Paris et à la France (il y aura aussi l’incapacité des Français à comprendre le cricket, et la réforme nécessaire des institutions françaises, leitmotiv de l’après-midi).
Vincent Pons, entrepreneur, a eu l’idée de créer en arrivant à Boston deux mois avant les présidentielles américaines de 2008, en pleine campagne de Barack Obama.
Dehors, il pleut des hallebardes, et pourtant ce n’est pas le Président Hollande que l’on attend.
Patrick Pouyanné, patron de Total, sur la réforme du pays.
Le turc Ahmet Bozer, patron de Coca-Cola, loue les jeunes.
Le Dr Suri, patronne des hôtels Bhârat et patronne des patrons en Inde, donne la mesure des enjeux en Inde.
Emmanuel Macron, ministre de l’Economie, arrive presque en rock star, et il ressemble vraiment à Boris Vian.
Patrick Pouyanné reprend son discours et redéfinit sa vision de l’égalité.
Pour Pouyanné, Total anticipe et investit maintenant aussi dans les énergies renouvelables.
Lionel Zinsou, premier Ministre du Bénin, recadre sur les valeurs de l’impôt pour le bien public…
… et donne les vertigineux chiffres du chômage pour l’ensemble de l’Afrique, avant de lier ces chiffres (et l’inactivité) à la montée de l’intégrisme religieux.
J’ai tiré quelques phrases en verbatim du discours d’Emmanuel Macron.
(J’ai du mal à suivre, ça doit être normal).
Retour d’Emmanuel Macron sur les déclarations remarquées l’an dernier de Manuel Valls et de Michel Sapin.
Un grand merci à Nicolas Stoop pour l’invitation, et à Marion L’Hour dont le live-tweet rigoureux m’a été très précieux.